Aperçu

De la fin 2009, les craintes d'une crise de la dette souveraine développés parmi les investisseurs fiscalement conservatrice concernant certains Etats européens, intensifier au début 2010. Cela comprenait des membres de la zone euro Grèce, Irlande, L'Italie, Espagne et le Portugal, et aussi certains pays de l'UE hors zone euro. Islande, le pays qui a connu la plus grande crise 2008 (voir 2008-2011 Crise financière islandaise) lorsque son système bancaire international est complètement effondré, a émergé moins touchés par la crise de la dette souveraine, en tant que citoyens islandais ont refusé de renflouer les banques étrangères dans un référendum. Dans l'UE, en particulier dans les pays où les dettes souveraines ont fortement augmenté en raison de sauvetage des banques, une crise de confiance a émergé avec l'élargissement des écarts de rendement des obligations et de l'assurance des risques sur les swaps de défaut de crédit entre ces pays et d'autres membres de l'UE, surtout Allemagne.

Tandis que les souverains des augmentations de la dette ont été plus prononcé dans seulement quelques pays de la zone euro, ils sont devenus un problème perçu pour la zone dans son ensemble. En mai 2011, Dette publique grecque a gagné la proéminence comme un sujet de préoccupation. Le peuple grec rejettent généralement les mesures d'austérité, et ont exprimé leur mécontentement à travers des manifestations de rue en colère. À la fin de Juin 2011, Le gouvernement de la Grèce a proposé compressions des dépenses supplémentaires d'une valeur de 28 milliards d'euros (25 milliards de £) sur cinq ans. Le prochain 12 milliards d'euros du plan de sauvetage de la zone euro-out seront libérés quand la proposition est adoptée, sans laquelle la Grèce aurait eu à faire défaut sur le remboursement des prêts en raison à la mi-Juillet.

 

Préoccupation la montée du niveau de la dette publique à travers le monde avec une vague de dégradation de la dette gouvernementale européenne alarme créé sur les marchés financiers. Sur 9 Mai 2010, Les ministres des Finances de l'Europe a approuvé un plan de sauvetage de 750 milliards de valeur de € visant à assurer la stabilité financière à travers l'Europe en créant le Fonds européen de stabilité financière (FESF).

 

Sur 2 Mai 2010, les pays de la zone euro et le Fonds monétaire international ont convenu d'un prêt de 110 milliards € pour la Grèce, subordonné à la mise en œuvre de sévères mesures d'austérité. Le sauvetage de la Grèce a été suivie par un paquet de 85 milliards € de sauvetage pour l'Irlande en Novembre, un renflouement de 78 milliards € pour Portugal depuis mai 2011, puis poursuivre les efforts pour répondre à la crise persistante en Grèce et d'autres pays.

En Octobre 2011, Dirigeants de l'Eurozone réunion à Bruxelles d'accord sur un paquet de mesures destinées à empêcher l'effondrement des économies membres en raison de leur spirale de la dette. Cela comprenait une proposition visant à radier 50% de la dette grecque envers les créanciers privés, augmenter le FESF à environ 1 € billions de dollars et obligeant les banques européennes pour atteindre 9% capitalisation. En Novembre 2011, les mêmes dirigeants de la zone euro qui ont étendu le paquet pour sauver la zone euro ont étendu un ultimatum vers la Grèce. Tant Sarkozy de la France et de l'Allemagne Angela Merkel ont rendu publique que leurs deux gouvernements ont atteint la fin de leur patience avec l'économie grecque aux abois.

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publié. Les champs obligatoires sont marqués *